Des droits de quoi?
Sérieuse, motivée, rigoureuse (comme ça ne m'était pas arrivée depuis alors 5 ou 6 mois), je me décide à y entrer.
Je m'inscris, m'assois, regarde ci et là pour voir l'organisation de cette petite documentation de quartier et finit par me mettre, petit à petit, à ma lecture. Je tente, tant bien que mal, de me concentrer mais les livres aux alentours me turlupinent: "littérature espagnol", "littérature anglaise traduite", "littérature argentine", "les textes fondamentaux", "les livres pour enfants", on y trouve de tout.
Alors, curieuse, je vais feuilleter quelques uns d'entre eux, commence à lire un de G. Garcia Marquez. Il m'intéresse. Je me rassois et commence la lecture de ce bon vieux Marquez.
Puis, je me dis, "bon je vais m'inscrire en tant que membre à cette bibliothèque, pour pouvoir emprunter". Je me renseigne et les documentalistes présents me disent que pour les étrangers, "l'inscription est valable seulement 3 mois". M'en allant dans un mois," no vale la pena".
C'est alors là, à ce moment précis, que la culture argentine m'est apparue de plein fouet:
-Sinon, niña, tu peux aller faire des photocopies du livre dans la librairie d'à côté. Ca te coutera moins cher que d'acheter le livre, me dit le documentaliste.
La conclusion de l'histoire?
Il n'y a aucun doute à affirmer que: les droits d'impression, les argentins, ils connaissent pas!
j'adore tes articles ma Cléclé, continue !!!
RépondreSupprimer....Tataaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa